lundi 2 mars 2015

L'épée dans la pierre de T.H.White





L'épée dans la pierre (The Sword in the Stone) est paru pour la première fois en 1939. C'est le premier tome du cycle La quête du roi Arthur.



Rétroprimé en 2014 par le prix Hugo, il constitue le premier livre de mon défi.




En pays de Grimoirie, le tout jeune Arthur rencontre un Merlin et commence auprès de lui un apprentissage des plus anticonformistes... Moins qu'à la politique et aux armes, le futur roi s'initie aux secrets de la nature et au mystère du monde animal dans une cascade de métamorphoses : il est ainsi changé en poisson, en blaireau ; il apprend le langage des faucons et leurs règles de vie ; se trouve confronté à la société guerrière et totalitaire des fourmis, face à l'univers pacifiste et libre des oies sauvages ! Autant d'initiations à la liberté, à l'indépendance et à l'adresse, en attendant de trouver Excalibur, la fameuse épée dans la pierre...

Constamment réédité, le cycle de T.H. White a toujours eu de nombreux lecteurs de tous âges. Le premier tome (Excalibur, l'épée dans la pierre) a été adapté au cinéma par Walt Disney avec le dessin animé Merlin l'enchanteur.



Mon avis :

En recevant le livre, j'ai ressenti beaucoup d'appréhension avant la lecture. J'avais très peur de percevoir un décalage entre l'époque où le livre a été écrit et le présent. De plus, puérilement, la première de couverture ne m'attirait pas du tout. Et pour couronner l'ensemble, la Fantasy, bien que j'ai été passionné par certains romans, n'est pas ma tasse de thé ...

Et bien, mes craintes étaient fondées. Je n'ai pas du tout accroché à l'histoire. Bien que le personnage de La Verrue (fort probablement le futur Arthur) soit attachant, j'ai trouvé que l'histoire manquait énormément d'actions. Premier tome d'une pentalogie, il est tout à fait normal d'y trouver de longues descriptions tant sur les lieux que sur les personnages, mais la narration ne m'a pas du tout attrapé. Plutôt que de me forcer au risque de me dégoûter, je me suis donc lâchement arrêté après une centaine de pages de lecture.

Je me laisse ainsi la possibilité de le retenter un jour. Qui sait ? Peut-être que revisionner le Merlin l'Enchanteur de Disney m'y poussera ...

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